Tant de bouches à guérir … des parasites qui les vampirisent Cet ouvrage sur la parodontite est le fruit de l’expérience d’un homme, chercheur et dentiste, à la découverte des bactéries et des parasites qui colonisent la bouche. Mark Bonner pointe la douloureuse ignorance des personnes atteintes de cette insidieuse affection. Par une méthode révolutionnaire décrite avec passion, rigoureuse sur le plan scientifique, il nous prouve à l’évidence que l’on peut retrouver son sourire et des dents solides. Il est urgent que les chirurgiens-dentistes de ce siècle redeviennent des « médecins de la bouche » considérant que la perte des dents n’est pas une fatalité.
Ce livre s’adresse au grand public – son bien-être en dépend – et à tous les thérapeutes dentaires désireux de guérir leurs patients. Il suscite la réflexion et emporte l’adhésion par son bonne humeur contagieuse et sa rage de convaincre. Un ouvrage décapant, vif, savoureux et spontané qui se lit par tous avec jubilation.
9782930353753
Fiche technique
Auteur
Mark Bonner
Editeur
Amyris
Pages
301
Commentaires (0)
Aucun avis n'a été publié pour le moment.
Votre avis ne peut pas être envoyé
Signaler le commentaire
Êtes-vous certain de vouloir signaler ce commentaire ?
Signalement envoyé
Votre signalement a bien été soumis et sera examiné par un modérateur.
Votre signalement ne peut pas être envoyé
Donnez votre avis
Avis envoyé
Votre commentaire a bien été enregistré. Il sera publié dès qu'un modérateur l'aura approuvé.
Tant de bouches à guérir … des parasites qui les vampirisent Cet ouvrage sur la parodontite est le fruit de l’expérience d’un homme, chercheur et dentiste, à la découverte des bactéries et des parasites qui colonisent la bouche. Mark Bonner pointe la douloureuse ignorance des personnes atteintes de cette insidieuse affection. Par une méthode révolutionnaire décrite avec passion, rigoureuse sur le plan scientifique, il nous prouve à l’évidence que l’on peut retrouver son sourire et des dents solides. Il est urgent que les chirurgiens-dentistes de ce siècle redeviennent des « médecins de la bouche » considérant que la perte des dents n’est pas une fatalité.